Un début? Ou une fin? [pour Blue-chan]

Voilà une semaine que l'incident infirmerie s'était passé. J'avais passée cette semaine dans ma chambre, prétextant un mal de ventre, ce qui n'était pas tout à fait faux d'ailleurs... Mais surtout, j'avais peur. Pas de Nanoko, mais de moi. « Elle » était revenue... Si il y bien une chose que je refuse de faire, c'est bien faire du mal à ma Nanoko.
Alors, pour l'éviter, je devais rester là...
Qui aurait cru qu'elle y parviendrai? Moi qui voulais juste être son amie, comment ai-je pu en arriver là? Je pensais avoir tourner la page, une bonne fois pour toute... Sincèrement... Je ne pensais pas que Nanoko y arriverait.
Ok, là, je le reconnais, j'ai perdu! Inutile de continuer à chercher à devenir son amie si c'est pour « qu'elle » revienne encore tous gâcher...
Assise sur mon lit, dos au mur, je rabattis mes jambes contre moi.
Samedi.
Il n'y a pas de cours aujourd'hui et le plus gros des élèves est rentré chez eux... Je me demande si Nanoko est rentrée quelque part, elle aussi...
C'est décidé, aujourd'hui, je ressors! « Elle » n'aura pas le dernier mot!
Le soleil était beau et déjà bien haut dans le ciel.
Je décida de sortir un peu en ville. Je sorti mon portable, pour rassurer tous les gens qui s'inquiétaient de mes absences. Un message à John, un à Maxine, un à Sayana...
Le nez dans mon portable, je franchie alors les grilles de l'académie. Une demi seconde plus tard, plusieurs paires de bras m'attrapèrent. Dans la bousculade, mon portable m'échappa des mains et tomba sur le trottoir. Puis, un mouchoir imbibé d'éther sur le visage et déjà, mon tête se mis à tourner et je perdis connaissance.
Lorsque je repris conscience, je ne parvins pas à bouger. Et pour cause, j'étais attaché à un tronc d'arbre, les mains liées contre le tronc, attaché solidement avec de la corde. Je leva péniblement la tête, celle-ci encore douloureuse à cause de tout à l'heure. Je mis quelques secondes à reconnaître mes agresseurs.
Elles était sept, dont la « chef », planté devant moi, un sourire de victoire sur les lèvres. À y regarder de plus près, elle était toutes très amochée, bien que leurs blessures dataient de plusieurs jours.
L'œuvre de Nanoko, je suppose...

« Alors, on reprend connaissance? »

Elle s'accroupie à ma hauteur et attrapa mon menton entre ses doigts.

« Tu sais pourquoi t'es là, n'est-ce pas? Ta copine nous à encore bien fais chier la semaine dernière! »

Ses copines se mirent à rire bêtement. Je répondit d'une petite voix:

« Vous perdez votre temps. Si vous pensez l'attirer ici, vous vous plantez, elle s'en fou de moi, elle viendra pas! De toute façon, elle tombra pas dans un piège aussi débile... »

« Qu'elle vienne ou qu'elle vienne pas, on s'en fou! On a juste besoin de se défouler! Et comme cette sauvage arrête pas de bouger, on va se défouler sur toi! Après tous, t'es sa copine! J'ai hâte de voir son visage lorsqu'elle apprendra ta disparition. »

Sans attendre un quelconque réclamation de ma part, elle commencèrent à me frapper, chacune leur tour.
Je serra les dents, grimaçant à chaque coup.
De toute façon, Nanoko ne viendra pas. Et je veux pas qu'elle vienne...
Elle avait raison, je devais rester loin d'elle, pour son bien... Si jamais « Elle » devait revenir, je ne pourrais pas la protéger de moi...
Je me sentais déprimer... Finalement, j'avais perdu... Je n'aurais jamais cru devoir abandonnée...
Les coups continuaient de pleuvoir, la douleurs était telle que je pouvais plus m'empêcher de crier... Mais personne ne m'entendra, on est en plein milieu de la forêt... De nombreuses larmes coulaient sur mes joues, mais je ne savais pas si c'était des larmes de douleurs ou de frustration...
Les filles étaient contente, me voyant si misérable, moi, une petite chose en train de souffrir sous leurs coups...
Quand je repris mes esprits, il faisait presque nuit. Chaque partie de mon corps me faisait souffrir. Elles m'avaient abandonnée là? Oui, forcément.
Personnes à par elles ne savait que j'étais là... J'allais mourir? Quelle ironie!

« Nanoko... » murmurais-je difficilement

C'était enfin le week-end. J'en pouvais plus des cours chiant comme la pluie que je devais supporter. Quand j'allais dehors ou ailleurs, je remarquais ce grand silence. C'était à la fois plus qu'agréable et à la fois, je trouvais cela un peu stressant, comme un vide. Après tout, peut être que j'avais finis par m'attacher à Manouke. Cette idée ne me plaisais pas, mais c'est pas comme si j'avais le choix. On décide pas à qui on s'attache, j'étais pas en dehors de cette règle. Je pensais à aller la voir, prendre peut être de ses nouvelles, savoir si elle allait bien vu le sacré coup que je lui avais donné, même s'il était bien léger. Mon épaule avait du mal à s'en remettre à cause des nanas avec qui je m'étais encore battu. Le samedi , dans la soirée, je me baladais dans l'Academy quand deux personnes vinrent me voir. Je ne les connaissaient pas mais je les avais déjà vu. Ils étaient dans la même classe que Manouke. Je m'apprêtais à leur demandé s'ils ne savaient pas dans qu'elle chambre elle était, mais leurs visages me stoppèrent net. Je les écouta avec attention.

- Dis, on se demandait si tu savais pas où étais Ayumi ?

- Je la cherches aussi, elle est pas ici ?

- Non, elle nous a dit qu'elle sortait, mais elle est partit ce matin très tôt et là, il est 19 heures, on a tous peur qui lui sois arrivé quelque chose. Avant de partir elle nous a envoyé un message, mais son message n'était pas complet ...

- Rester ici, je vais chercher ma Manouke !

Je partis en courant, aussi vite que je le pouvais direction la sortie. Je chercha le moindre indice qui pourrais me permettre de trouver où elle était. Mes yeux cherchaient partout quand j'aperçu un téléphone sur le trottoir. Je le ramassa, reconnaissant directement celui de Manouke qu'elle avait déjà utiliser devant moi. Je vérifia au niveau de ses messages, pas de doute, c'était le téléphone de Manou'. Je chercha de nouveaux indices avant de voir un bout de tissu dans un coin. Je vérifia, on ne sais jamais. L'odeur de ce produit... De l'éther ! Je chercha partout, j'étais sur et certaine que quelque chose de grave était arrivé quand je remarqua des marque sur la route, des marques de voiture allant vite. Je chuchota à ne même pas m'entendre moi-même.

- Manouke... !

Je partis en courant, suivant les marques de voitures. Je couru pendant une bonne demi-heure avant d'arriver dans une forêt. Alors que j'allais à peine reprendre mon souffle, j'aperçu les filles à qui j'avais casse la figure, les mains pleines de sang. Je passa en mode "rage folle". Elles prirent la fuite et, certainement sans le vouloir, me menèrent jusqu'à Manouke. J'eus comme un déclic au plus profond de moi-même, me disant de les tuer. Je me pris violemment à elles, m'assurant qu'elles ne rentreraient pas sans une ambulance. Je pris tous leurs téléphones. Elles m'avaient tout de même bien amoché même si je les avais vite mise à terre. Je m'approcha en courant de Manou', m'apprêtant à l'appeler d'une façon inhabituelle pour ma part.

- Ayumi ! Eh ! Reste avec moi gamine ! Tu vas pas me lâcher maintenant c'est moi qui te le dis !

Je la détacha doucement et l'emporta loin d'elles. J'arriva à une de c'est maisonnette dans lesquelles se trouvaient généralement des trousses de soins et autres. Je força la porte, remarquant qu'elle était fermé. Une fois à l'intérieur, j'allongea Manouke sur le lit et sortis automatiquement la trousse de soins. Je m'occupa de chacune de ses plaies, une part une, m'assurant de tout soigner comme il se devait. Je l'avais endormis, ne voulant pas lui faire vivre le même genre de chose qu'à moi. Mes mains sur son corps, je sentais ses os cassés. Je ne pouvais rien faire actuellement, à part la soigné et lui éviter de perdre tout son sang. Je resta à son chevet toute la nuit à réparer les erreurs de ces nanas. Je mettais sur ces os des serviettes chaudes, accélérant leurs réparations. Le lendemain alors qu'il n'était que 5 heures, le soleil se leva doucement, réchauffant la petite pièce où nous étions Manouke et moi. J'observa autour de moi, remarquant un petit frigo à coté du quel se trouvait une petite gazinière. Je regarda furtivement ce que je pouvais lui préparer, pour lui redonner des force. Vu son état, du riz et une soupe était les meilleurs choses à lui donner. Je commença à lui préparer à manger, espérant qu'elle ne tarde à se réveiller.

Où suis-je?
J'ai mal... Partout... Je suis morte? Surement... J'ai du crever accroché sur mon arbre...
C'est quoi cette odeur? On dirait... du riz? Quelqu'un cuisine? Ils ont des cuisines au paradis?
Très curieuse de voir le bon dieu en train de cuisiner, j'ouvris les yeux, apercevant un plafond en bois. Ah bah non, finalement, je suis pas morte...
Je voulu parler mais chacun de mes muscles semblaient avoir décider de faire la grève. Par je ne sais quelle miracle, le tourna les yeux vers ma gauche, source de cette odeur. J'aperçus alors une silhouette flou. Je ne parvenais pas à mettre un nom sur cette silhouette... Qui ça peut-être?
John? Non, il est plus grand que ça...
Maxine? Pas possible, elle a de beaux cheveux roux... Alors que là, il sont noir...
Sayana? Nan... Pas elle... Elle doit surement être avec sa famille...
Mais alors? Qui est-ce?
Qui que ça soit, cette personne m'avais détacher de mon arbre et m'avais manifestement soigné... Je devais être dans un état misérable d'ailleurs...
Peu à peu, ma vue s'éclaircit et finalement je distingua quelque chose qui m'indiqua directement l'identité de mon sauveur. Un casque audio.

« Na...no...ko...? »

Ma voix se perdit dans ma gorge douloureuse. Je me demande même si j'ai vraiment parler ou si mes lèvres ont juste bougées.

Mon casque m'avait encore sauvé la mise. Si je n'avais pas eu ma musique, je crois que je me serais endormi devant la cuisinière. Un bref son m'indiqua une autre voix. Je me retourna sans plus attendre et aperçu les yeux entrouverts de Manouke. Je souris, laissant le riz cuire.

- Alors gamine, t'as joué les acrobates sur un tronc d'arbre ?

Je jouais un peu sur l'ironie sur ce coup là. Je regarda ses bandages un instant avant d'en sortir de nouveaux.

- Je vais changé t'es bandages si ça ne te déranges pas, tu vas bien tôt pouvoir mangé, mais évite de parlé ou de bougé, ça risquerais de t'abîmé plus que tu ne l'es.

Si elle voulait parlé, il fallait qu'elle mange et qu'elle boive. J'enleva ses bandages pour en mettre de nouveau, les anciens imbibé de sang. Elle avait eu de la chance que je sois là, sinon elle n'aurait certainement pas survécu à de telle blessure et à une perte si importante de sang. J'arriva au bandage de sa blessure la plus grave et sans doute la plus douloureuse. Je lui fis signe d'ouvrir la bouche et lui mis un bout de tissu dans lequel elle pouvait mordre si elle avait mal. J'enleva le bandage de sa jambe. Une de ses attaquantes avait du avoir un couteau ou autre pour lui avoir presque entièrement ouvert la jambe. J'avais fais de nombreuses choses pour qu'elle garde sa jambe, même des médecins n'auraient pas fais mieux, mais sa blessure mettrait énormément de temps à se remettre complètement. Je changea la bande avec le plus de douceur possible avant d'entendre le riz bouillir dans sa casserole. J'en mis un peu dans un petit bol que je remplis de soupe. Cela semblais vraiment bon. Remarquant en un instant qu'elle ne pourrais pas manger seule, je fis en sorte de la redresser et lui donna sa nourriture à la cuillère, m'assurant au passage qu'elle ne se brûle pas. Il était rare que je sois attentionné avec les gens de mon entourage, mais c'était probablement ma faute si elle c'était fait fracassé la figure.

Nanoko avait souris lorsqu'elle s'aperçut de mon réveille. Elle s'approcha de moi, blaguant sur l'état dans lequel elle m'avait trouvé.
Jouer aux acrobate? J'esquivai difficilement un sourire, grimaçant juste après, alors qu'elle changeait mes bandages. Elles m'avaient pas loupé ces sales pestes... Je ne voulais même pas savoir à quel point j'étais abimée...
Elle me redressa alors, pour que je puisse manger.
Je voulus attraper le bol qu'elle me tendit mais mes mains refusèrent de bouger plus que sur quelque centimètres. Seule mes doigts se plièrent légèrement, me provocant une douleurs dans les bras. Y'a-t-il une partie de moi qui n'est pas blessée?
Remarquant pour état pitoyable, elle commença alors à me tendre une cuillère de riz, après s'être assurer que celle-ci n'était pas trop chaude.
Dans un silence presque religieux, elle me fit avaler tous le bol. Lorsque elle eut finit, elle se leva pour reposer la vaisselle sale dans l'évier. Toujours assise sur le lit, mon regard parcourus alors l'ensemble de mon corps, recouvert presque entièrement de bandages blanc.
Je voulais parler mais pour dire quoi? Pourquoi était-elle là? Elle allait surement encore me dire que si j'avais pas chercher à être son amie, ça me serais jamais arrivé et blablabla...
Je soupira, bien que ce seul mouvement de la poitrine me provoqua une douleur lancinante le long de mon dos...
Je ferma les yeux, soudainement prise de vertige. Je posa mon dos contre le bois du lit, réussissant à articuler:

« Pourquoi...Es-tu...là...? »

Ah merde! Rien que ces trois mots m'avais pompé le peu d'énergie que j'avais. J'avais sommeil... Tellement sommeil.

J'avais commencé à faire la vaisselle quand je me rendis compte que j'avais soigné les blessures de Manouke, mais j'avais oublié de soigné celles que m'avais faite ces filles. Le produit vaisselle sur mes mains pleines de coupure me fis frissonner. Après avoir finis, je rangea la vaisselle où je l'avais eu et je mis des bandes sur mes plaies. J'entendis une petite voix derrière moi. Ce n'étais autre que Manou' qui essayait de parlé.

- Je t'ai dis de ne pas parlé pour l'instant, t'es encore trop faible ...

J'essaya tout de même de comprendre ce qu'elle me disait. En me forçant, je finis par comprendre ce qu'elle me racontait.

- Je suis venue te chercher quand tes amis mon dis qu'ils t'avaient pas vu de la journée, j'ai trouvé ton téléphone et un mouchoir plein d'éther, alors comme j'étais inquiète et bah je suis venue te chercher en foutant une bonne raclée à ces nanas en passant !

Je dis tout cela sur un ton enjoué, comme heureuse d'être arrivé au bon moment. Je mis ma main sur son front, remarquant qu'elle avait toujours de la fièvre à cause de ses blessures. Je chercha mais ne trouva pas de tissu ou autre que je pouvais mettre sur sa tête, je me retrouva à arracher un bout de ma chemise et à la mettre sous de l'eau froide pour le poser sur la tête bouillante de Manouke. Mon regard devint sérieux et d'une voix douce et rassurante, je m'adressa à elle tout en tamponnant son front avec le tissu froid.

- J'ai décidé d'être ton amie... ne prends pas ça comme une victoire mais plutôt comme un honneur, mais... si tu pouvais m'apprendre ce que font les amies ensembles ça m'aiderais beaucoup, parce qu'actuellement, mais ami(e)s étaient toujours comme moi, aussi violent(e)s que moi pour être exact, alors on faisais des trucs violents et tout, alors les trucs normaux entres amies je connais pas...

Je ne voulais pas lui dire, mais dans ma tête je pensais lui dire que je me sentais seule à cause d'elle.

Elle posa sur mon front chaud un bout de sa chemise. Je devais vraiment halluciner à cause de la fière... Elle venait de me dire qu'elle avait décider d'être mon amie? Hein? Pas possible! Non, c'est sûr, j'ai de la fièvre et j'hallucine... Il y a pas d'autre explication!
Elle me regardait de façon si sérieuse... Elle était sincère... Même sa voix était douce...
Elle voulait que je lui apprenne à faire des choses normales, entre amies... J'avais envis d'y croire... Je voulais y croire...
Un micro sourire se dessina sur mes lèvres.
Je leva alors difficilement ma main vers elle, et tendis le petit doigt.

« Les amies... Se font... Des promesses... En se serrant... Les petits doigts... Promets-moi d'être... Mon amie et moi je... Te promets d'être toujours... Là pour toi »

Bon sang, faut vraiment que j'arrête de causer.. J'arrive même plus à faire des phrases entières sans accrocher chaque mots. Même ma langue me fait mal...
Toujours la main levée, j'attendais un réaction.
Si elle s'énerve et m'insulte de gamine, ça voudra dire que j'ai halluciné ces mots et je mettrais ça sur le compte de la fièvre...
Et sinon... Sinon...
Oh, je ne savais même pas... Ça me paraissait encore un peu bizarre... Comme un beau rêve... Ah peut-être que je suis vraiment morte et que c'est est un ange qui ressemble à ma Nanoko...

Je la regardais tenter de bouger, non pas sans peine. Elle me tendit son petit doigt en m'expliquant une chose intéressante. Je l'écouta avec attention avant de croiser mon petit doigt avec le sien.

- T'as intérêt de la tenir ta promesse !

Je lui lança un sourire un peu bête. Je voulais savoir ce que c'étais une amie "normale", bien qu'elle soit loin de savoir que j'avais l'intention de lui en faire voir de toute les couleurs. Je la regarda avec attention avant de voir l'une de ses plaies se remettre à saigner pas mal, certainement à cause du sang qui coagulait à nouveau normalement. C'étais bon signe.

- Regarde ça, tu devrais te sentir mieux dans une petite heure, mais repose toi pour l'instant, si jamais ces nanas apparaissent, je leur fais la tête au carré !

Je craqua mes doigts, un sourire niait aux lèvres, avant de me lever et d'ouvrir la porte. Le soleil donnais une couleur chaude et douce dans la petite pièce. Même s'il était très tôt, une chaleur plutôt pesante se faisait déjà sentir.

À ma plus grande surprise, elle croisa son doigt avec le mien, me demandant de tenir aussi ma promesse. Pour ça, elle n'avait pas à s'inquiéter, c'est ce que je comptais faire depuis le début.
Une douleur se fit alors sentir, bien que je ne savais pas trop où... Nanoko me rassura en m'expliquant que je devrais me sentir mieux d'ici une heure. Elle me conseilla d'ailleurs de dormir un peu, bien que le soleil était en train de se lever.
Elle se leva et ouvrit la porte de dehors, faisant rentrer quelques rayons de soleil dans la petite cabane sombre.
Le sommeil me rattrapa rapidement et c'est probablement avec une petite sourire aux lèvres que je finis par me rendormir.
J'avais hâte de guérir et de pouvoir apprendre à Nanoko ce que signifie « être amie »

RP terminé

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